Chantale Jeannotte veut continuer ce qu’elle a commencé

Publié le 08 sep 2022 (Mise à jour le 12 apr 2025)
Temps de lecture 2 minutes

Martin Dumont

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Établie depuis plus de 20 ans à Mont-Tremblant, Chantale Jeannotte se présente pour un deuxième mandat pour la Coalition Avenir Québec (CAQ).

À 58 ans Chantale Jeannotte, mentionne d’emblée que le sport lui amène l’énergie et la discipline pour réussir en politique. Elle se dit particulièrement fière de son premier mandat, mais, à l’instar de son parti, elle regarde déjà vers l’avenir pour voir ce qui peut être amélioré.
Meneuse
Chantale Jeannotte conçoit son parcours en politique comme l’aboutissement de ses choix de vie personnelle et professionnelle. « Déjà très jeune, j’étais attirée par les relations publiques, j’ai fait du théâtre, de la danse […] j’ai aussi été présidente de ma classe, duchesse », se souvient la candidate de la CAQ.
Plus tard, elle fait des études en théâtre. À l’université, elle s’intéresse aux sciences politiques dans le but de devenir journaliste. Elle travaille par la suite pour le bureau du conseil privé à Ottawa en communications. Puis, elle œuvre en développement économique régional pendant 15 ans.
appel viscéral
Son appel vers la vie politique survient lorsqu’elle est frappée par le discours de François Legault lors de l’une de ses présences à la radio « J’étais inspirée par quelqu’un qui voulait faire avancer le Québec en passant à l’action […] Il parlait de laisser de côté nos chicanes nationales, il insistait sur l’importance de créer la richesse avant de penser à la redistribuer, moi qui viens d’un milieu d’ouvriers, j’ai été touchée par quelqu’un qui était assez lucide pour parler des vrais enjeux […] j’ai tout de suite eue envie de travailler avec lui ».
enjeu pour Labelle
Selon Mme Jeannotte, le présent et l’avenir de Labelle découlent des enjeux liés à la pression démographique. Parmi les défis des prochaines années, elle n’y voit pas un seul enjeu, mais des défis interreliés. Santé, environnement, développement économique, logement, place en garderie, tous ces défis peuvent, selon elle, être abordés avec des solutions réalistes. « Il faut concilier la croissance économique et l’écologie […] pour ce faire, il faudra changer nos habitudes de vie […] Mais il faut le faire par étapes, de façon pragmatique, sinon l’élastique va briser et les gens ne suivront pas ».