Cultiver pour nourrir propose des paniers « éconos »

Publié le 08 jun 2022 (Mise à jour le 12 apr 2025)
Temps de lecture 2 minutes

Maxim Ouellette-Legault

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Pour les personnes et les familles à revenu modeste, l’organisme Cultiver pour nourrir propose cette année des paniers dits « éconos ». Ces paniers contiennent des légumes, des fines herbes et quelques fruits produits par l’organisme. Il s’agit d’une première édition pour cette nouvelle formule.
Il y a deux formats de paniers éconos. Le premier format est conçu pour combler les besoins d’une à trois personnes pour un coût de 17$ par semaine. Le deuxième format pour quatre à six personnes est d’un coût de 30$ par semaine. La distribution des paniers débutera normalement le 14 juin et se terminera le 15 octobre.

Il est possible de s’abonner pour tous les paniers de la saison, soit les 18 paniers. Pour le format minimal, le coût total des 18 paniers est de 306$. Le coût de l’abonnement du panier familial est de 540$. Il est possible de payer en plusieurs versements ou en un versement complet pour la saison.

À chaque distribution, on proposera à l’intéressé un choix de 10 à 35 variétés de légumes, fines herbes et fruits. Dépendamment du format et de la valeur de chaque item, vous pourrez avoir entre 8 et 12 items dans votre panier.

Pour s’inscrire aux paniers éconos, les personnes doivent manifester leur intérêt à Martin Chevalier, directeur général de Cultiver pour nourrir, par courriel au dir.cultiverpournourrir@gmail.com.

Les paniers pourront être récupérés aux différents points de chute proposés. Pour les personnes de Mont-Laurier et des alentours, il sera possible de récupérer son panier les mercredis entre 15h et 17h30 au jardin principal de l’organisme, soit derrière l’hôtel de Ville de Mont-Laurier, situé au 300 boulevard Albiny-Paquette.

Pour les personnes qui n’habitent pas à Mont-Laurier, d’autres points de chute seront proposés, soit à Saint-Aimé-du-Lac-des-Iles, à Lac-du-Cerf, Kiamika, Notre-Dame-de-Pontmain, au village de Lac-des-Écorces et dans le secteur de Val-Barrette. Pour ces municipalités, le point de chute reste encore à déterminer.