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Le centre L’Impact demeure une bonne voie vers l’avenir

  • Publié le 09 feb 2025 (Mise à jour le 13 apr 2025)
  • Temps de lecture 2 minutes

Le centre L’Impact de Rivière-Rouge est là depuis des décennies et s’avère toujours un choix judicieux pour le chemin du travail.

Alain Tremblay est conseiller en communication pour le centre L’Impact ainsi que celui de Mont-Laurier, le CFP Christ-Roi. Le journal l’a joint pour quelques questions au sujet de l’éducation aux adultes.

Qu’est-ce qui pousse une personne à retourner sur un banc d’école ?

« Il y a plusieurs raisons. Dans une grande partie, ce sont des gens qui souhaitent poursuivre leurs études pour aller en formation professionnelle ou collégiale et ils manquent, soit le diplôme d’études secondaires ou ce que l’on appelle des préalables liés à ces formations. […] De façon générale, ce sont des cours que l’on doit faire pour accéder à une formation. »

Un métier semi-spécialisé

Parlez-moi de cette formation dite : métier semi-spécialisé.

« C’est pour des gens où ce fut plus difficile dans la formation générale, mais qui veulent faire un métier, obtenir un certificat qui a une valeur. Et il y a un certain nombre d’heures qu’ils doivent faire au centre comme préparation afin de valider des matières de base [français et mathématiques]. Puis, ils apprennent un métier en entreprise comme « dans l’ancien temps », comme un apprentissage. C’est une formation, et non un stage, qui peut durer des semaines ou des mois. C’est un programme du ministère avec au bout un vrai certificat de formation à un métier semi-spécialisé. Un contrat est fait avec l’entrepreneur qui va accueillir l’élève. C’est génial, car la personne obtient une véritable certification, même si elle a eu de la difficulté, par exemple, si elle a arrêté en secondaire. Cette formation est disponible au centre. […] Il y a comme 140 métiers reconnus par le ministère et il ne reste qu’à faire un choix logique dans son cheminement. »

En terminant, M. Tremblay tient à souligner que ce sont deux mondes, l’instruction publique et l’éducation aux adultes. Le premier est obligatoire et le dernier reste un choix personnel.

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